Peuple et langage toujours
Benveniste, tiens, note, parle de société. Je l'avais presque oublié, absorbée dans la lacune que je trouve dans ce qui devrait être à côté de son concept d'intersubjectivité, pour le sujet collectif.
Mais : reprendre de Benveniste en tout cas : que la langue est l'interprétant de la société.
Comment cela pose-t-il, en tenant ce rapport et le retournant pour qu'il présente sa face à la question posée, le outlook pour le rapport de peuple ?
Veiller à ce que ne se recompose pas, tout Naturellement et au galop, le couplage entre langue et peuple. Que le peuple soit ce lien humain qui a en commun de parler une langue.
Il y aura des effets de peuple par partage d'une langue, mais tout l'intérêt des Légendes de Saussure entre autres est de regarder l'indifférence des langues dans la sémiologie d'un/e ?? (disons forme? discours ?) culturel/le.
Difficulté avec la proposition de Benveniste : on sait faire valoir cette lucidité - langue interprétant de la société - dans son champ de critique. Soit : à quoi elle sert, dans son contexte d'avancée.
Mais elle est à faire valoir autrement, ailleurs, à un autre point de l'anthropologique, ici. Ou alors je m'échine, bien évidemment, à réinventer la roue, portes ouvertes etc. Ce serait déjà bien.
Langue interprétant de la société devrait = langues font les peuples (contrairement à l'inverse, ancré dans les mœurs et 'science normale'). Voir ça, travailler ça.
Car pour commencer c'est le langage, traversier et indifférent aux différences des langues, dia, qui fait les peuples, alors à penser dans la même indifférence en procès et dans la dimension du dia.
Soit. Ajoutera-t-on par là quelque chose aux critiques de tout bois contre les identitarismes de conception du peuple ? On y contribuera certainement une spécificité. Quelle sera sa force critique.
Benveniste, tiens, note, parle de société. Je l'avais presque oublié, absorbée dans la lacune que je trouve dans ce qui devrait être à côté de son concept d'intersubjectivité, pour le sujet collectif.
Mais : reprendre de Benveniste en tout cas : que la langue est l'interprétant de la société.
Comment cela pose-t-il, en tenant ce rapport et le retournant pour qu'il présente sa face à la question posée, le outlook pour le rapport de peuple ?
Veiller à ce que ne se recompose pas, tout Naturellement et au galop, le couplage entre langue et peuple. Que le peuple soit ce lien humain qui a en commun de parler une langue.
Il y aura des effets de peuple par partage d'une langue, mais tout l'intérêt des Légendes de Saussure entre autres est de regarder l'indifférence des langues dans la sémiologie d'un/e ?? (disons forme? discours ?) culturel/le.
Difficulté avec la proposition de Benveniste : on sait faire valoir cette lucidité - langue interprétant de la société - dans son champ de critique. Soit : à quoi elle sert, dans son contexte d'avancée.
Mais elle est à faire valoir autrement, ailleurs, à un autre point de l'anthropologique, ici. Ou alors je m'échine, bien évidemment, à réinventer la roue, portes ouvertes etc. Ce serait déjà bien.
Langue interprétant de la société devrait = langues font les peuples (contrairement à l'inverse, ancré dans les mœurs et 'science normale'). Voir ça, travailler ça.
Car pour commencer c'est le langage, traversier et indifférent aux différences des langues, dia, qui fait les peuples, alors à penser dans la même indifférence en procès et dans la dimension du dia.
Soit. Ajoutera-t-on par là quelque chose aux critiques de tout bois contre les identitarismes de conception du peuple ? On y contribuera certainement une spécificité. Quelle sera sa force critique.
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