Amselle, dans L'Anthropologue et le politique (2012) cette fois : pose nette : "La question de la 'voix des sans voix', de la parole du peuple et donc du populisme" (25). Il poursuit, par sa prise : "est au cœur des études postcoloniales, en particulier des études sur les subalternes (subaltern studies)."
(D'où la possibilité d'une analyse par la déconstruction des primitivismes, et du rôle de l'anthrologie dans. Alors Michéa d'une part, et Dumont (holisme), Le Goff ("totalitarisme villageois"!), E Terray, Messailloux, Clastres etc.)
Puis, après dénonciation de Substuds (Guha direct) pour maoïsme, note de méthode : " - ce qui impliquait donc à son tour que ce peuple existât." Trope Amselle ici, juste, même si injuste quant au performatif critique de la proposition de "subalterne". Opérateur.
(D'où la possibilité d'une analyse par la déconstruction des primitivismes, et du rôle de l'anthrologie dans. Alors Michéa d'une part, et Dumont (holisme), Le Goff ("totalitarisme villageois"!), E Terray, Messailloux, Clastres etc.)
Puis, après dénonciation de Substuds (Guha direct) pour maoïsme, note de méthode : " - ce qui impliquait donc à son tour que ce peuple existât." Trope Amselle ici, juste, même si injuste quant au performatif critique de la proposition de "subalterne". Opérateur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire