lundi 26 septembre 2016

Journal - de quoi on parle

Enfin, j'en suis au conceptuel. Au travail des propositions, hypothèses, épreuves. Le temps et la formation (au milieu institutionnel, soit aux conditions discursives des disciplines) qu'il faut pour y déboucher. Sorti des brouillards, des dépenses obligatoires, d'ordre rhétorique - sans parler les ordres de la socialisation, se faire une voix, etc.
Tout ce qui passe de total BS dans l'épreuve rhétorique.
Et la dureté, exacte, du travail de l'inconnu, tranquillement et ordinairement, dans la dimension conceptuelle - this, for want of a better word just now, to identify the sphere I mean. Liberté.
Saussure est le compagnon idéal pour ça, bien que ses succès institutionnels et ses félicités en récompense narcissique ne soient pas un modèle très séduisant ni doux.

De quoi on parle.
Et non : agiter les jetons d'un discours tout trouvé, sans avoir à entrer dans les mouvements de génération, de formation, des propositions. Épouser leur motivation critique.

Il y a des propositions fausses. Simplement. Et des présupposés faux.
Ensuite il y a des erreurs de constructions, et d'articulation conceptuelle.
Ne pas investir dans leur discussion.

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